Giorgis - Le flâneur
- 13 years ago
ΓΙΩΡΓΗΣ ΧΡΙΣΤΟΔΟΥΛΟΥ - Le Flâneur - ΤΡΑΓΟΥΔΙ ΑΠΟ ΤΟ ΝΕΟ ΟΜΟΤΙΤΛΟ ΑΛΜΠΟΥΜ Primer video "le flâneur" extraido del album " Giorgis flaneur* "- music Giorgis / lyrics Marthelene -(κυκλοφορεί από την Ankh/Epsa/Sgae - depósito legal:Β-3504-2011)
LE FLANEUR: À quoi sert de se presser quand on n’sait pas où aller, je préfère m’asseoir sur un banc. À quoi sert de se stresser quand on n’sait pas y aller, je préfère jamais être un grand. Je prends le temps d’aller noyer tous vos malheurs quand j’arrive à l’heure. À quoi sert d’aller chercher quand on n’peut pas trouver, je préfère que tu sois content. À quoi sert de tout garder quand il faut oublier, je préfère aller de l’avant. Promeneur sous votre nez tous les jours de l’année, messieurs-dames je suis le bonheur
ES: EL PASEANTE De que sirve apresurarse cuando no se sabe donde ir, prefiero sentarme en un banco. De que sirve estresarse cuando no se sabe ir, prefiero no crecer.
Me tomo el tiempo de ir a ahogar vuestras penas cuando llego a la hora. De que sirve ir a buscar cuando hay que olvidar, prefiero que estés contento. De que sirve guardarlo todo cuando hay que olvidar,
prefiero ir hacia delante. Me tomo el tiempo de ir a ahogar vuestras penas cuando llego a la hora.
Paseante ante vuestras narices todos los días del año, señoras, señores, soy la felicidad
LE FLANEUR: À quoi sert de se presser quand on n’sait pas où aller, je préfère m’asseoir sur un banc. À quoi sert de se stresser quand on n’sait pas y aller, je préfère jamais être un grand. Je prends le temps d’aller noyer tous vos malheurs quand j’arrive à l’heure. À quoi sert d’aller chercher quand on n’peut pas trouver, je préfère que tu sois content. À quoi sert de tout garder quand il faut oublier, je préfère aller de l’avant. Promeneur sous votre nez tous les jours de l’année, messieurs-dames je suis le bonheur
ES: EL PASEANTE De que sirve apresurarse cuando no se sabe donde ir, prefiero sentarme en un banco. De que sirve estresarse cuando no se sabe ir, prefiero no crecer.
Me tomo el tiempo de ir a ahogar vuestras penas cuando llego a la hora. De que sirve ir a buscar cuando hay que olvidar, prefiero que estés contento. De que sirve guardarlo todo cuando hay que olvidar,
prefiero ir hacia delante. Me tomo el tiempo de ir a ahogar vuestras penas cuando llego a la hora.
Paseante ante vuestras narices todos los días del año, señoras, señores, soy la felicidad